C 'était un samedi , le 8 février 2003, tu pars travailler en nous disant, salut les jeunes, à ce soir, amusez vous bien, ce seront tes dernières paroles. la journée a passé et le soir à 19 h, ce meurtrier de la route te tuait , oui , c 'est lui qui t 'a tué !
je n' accepterais jamais ta MORT !
Qui a décidé que tu n’aurais pas le droit de vivre
comme tout le monde ! Qui ?
je t' aime mon fils, tu me manques toujours autant, j' espère que là ou tu es, tu es bien, tu es avec tes copains du ciel et ta cousine Séverine qui est partie le 11 février.
Tu es partout là ou je suis, et 13 ans, après, c 'est comme si, cela faisait une heure .
je t 'envoie plein d 'amour mon Jéjé . Toi , ta sœur, Papa, Gauvain vous êtes mes amours .
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